dimanche 28 juin 2009

Compte rendu de la réunion de bureau départemental des jeunes populaires du 26 juin 2009

Durant cette réunion divers points ont été abordés par les jeunes notamment:

=> Un point sur la politique de renouvellement et d'adhésion, l'objectif étant de doubler le nombre d'adhérent d'ici la fin de l'année.

=> Un point technique concernant notamment la gestion des blog et pages facebook des jeunes

=> Un point concernant les manifestation à venir de l'UMP (les dates sont affichées sur ce blog)

=> Un point concernant l'organisation de la distribution du magazine Chalon pour tous (magazine de l'opposition municipale). cette distribution sera pour partie effectuée par les jeunes populaires.

lundi 15 juin 2009

Polémique RCEA

Nous sommes, comme vous, consternés par la polémique qui entoure le débat sur la RCEA.

Pour sortir de cette polémique, Jean Marc NESME a proposé à M. Montebourg un débat public.

Ce débat public aura lieu :

Jeudi 18 juin 2009, à partir de 19h30
A Paray le Monial, au CAP, rue Lathuilière
(ancien magasin Leclerc en ville, après le centre des impôts)

Ce débat sera animé et filmé par France 3 Bourgogne qui le retransmettra le samedi 20/06 en intégralité

Nous comptons sur votre présence !

lundi 8 juin 2009

Un bourguignon au Parlement européen!!!!!!!!


Malgré un fort taux d'abstention, l'UMP à réalisé un excellent score aux élections européennes tant au niveau national qu'au niveau local.
Arnaud Danjean (troisième sur la liste) a donc été élu, ainsi que Michèle Striffler, quatrième sur la liste.
Les jeunes populaires se félicitent de ce résultat, et tiennent aussi à féliciter leur candidat!!!!!

vendredi 5 juin 2009

Le 7 Juin, je vote.

La campagne des européennes touche à sa fin, reste le plus important le vote du dimanche 7 juin.
Il est indispensable de mobiliser votre entourage, à l'approche de ce scrutin majeur afin que la liste pour la majorité présidentielle réalise le meilleur score.
Votez et faites voter utile en choisissant le bulletin de la majorité présidentielle emmenée par Joseph Daul, Véronique Mathieu et Arnaud Danjean.

La Saône et Loire n'a pas eu de députés européens depuis 30 ans, c'est pourquoi nous comptons sur vous, sur votre mobilisation, sur votre aide.

Meeting de clôture à Paris;




Les jeunes populaires ont participé de façon massive au meting parisien de fin de campagne. Tout le gouvernement était présent, notamment le Premier ministre François Fillon.


jeudi 4 juin 2009

Les jeunes toujours plus mobilisés, soutiennent Arnaud Danjean

Nadine Morano était présente ce mercredi 3 juin à Mâcon pour soutenir Arnaud Danjean dans cette campagne.
Une partie de nos jeunes qui se sont déplacés en masse, témoignant de leur soutien à la liste pour la majorité présidentielle et à Arnaud Danjean
Les jeunes de Saône et Loire en compagnie de Nadine Morano et d'Arnaud Danjean

lundi 1 juin 2009

Arnaud Danjean: "L'Europe c'est notre quotidien".

Arnaud Danjean : « L'Europe c'est notre quotidien »

Arnaud Danjean a été, pendant 12 ans, chargé des affaires yougoslaves. Photo Clément Renard

Arnaud Danjean a été, pendant 12 ans, chargé des affaires yougoslaves. Photo Clément Renard

UMP. Cet ancien de la DGSE est 3e de liste, en position éligible, pour les élections européennes

interview

par Emmanuel Hasle

Ne pas avoir de mandat électif, est-ce un handicap quand on fait campagne ?

« On le dit parfois. Et certains de mes concurrents à la course à l'investiture l'ont dit. Il faut savoir ce que l'on veut : il faut bien commencer à un moment ou à un autre. On se plaint suffisamment de gens qui cumulent trop de mandats. D'un autre côté, si on ne donne pas leur chance aux jeunes…

Ne pas avoir de mandat électif à 37 ans et se lancer dans une élection, ce n'est pas une honte. L'important, c'est une forme de compétence et ne pas se lancer sur des mandats pour lesquels on ne se sent pas la capacité de le faire. Or, sur le mandat européen, je pense avoir des compétences à faire valoir. »

La campagne est très courte. Comment faites-vous sur le terrain ?

« On a dix-huit départements à couvrir pour la grande région Est. C'est considérable (...) La journée de campagne classique : rencontre avec des socioprofessionnels. C'est très important de voir le tissu socio-économique local, et en particulier les secteurs qui connaissent l'Europe, comme le milieu agricole, qui est très exigeant vis-à-vis de l'Europe. »

L'argument qui veut que plus il y aura d'abstention, plus cela bénéficiera à l'UMP n'est-il pas fondé ?

« Non, je ne le verrais pas comme ça. C'est une façon très politicienne de présenter les choses. Même si ça peut correspondre à une forme de réalité électorale.

Ce qu'il faut dire, c'est que, nous, on arrive à mobiliser notre électorat. Si la gauche n'arrive pas à mobiliser son électorat, c'est son problème. C'est qu'elle ne sait pas lui parler, qu'elle ne sait pas lui parler d'Europe. Et c'est grave. On a besoin de gens qui s'intéressent à l'Europe, quel que soit le bulletin de vote qu'ils vont glisser dans l'urne. »

Si vous êtes élu, quelle sera votre priorité ?

« Ce sera de recréer un lien qui n'est pas évident pour la majeure partie de nos concitoyens. Un lien très fort entre le territoire couvert par le député européen, la circonscription dans laquelle il se fait élire, et le travail qu'il peut fournir dans les instances européennes. Ce lien a été distendu. »

Ce « lien », vous le traduisez comment ?

« Ce lien exige une présence sur le terrain. Il y a beaucoup de travail en commission, il faut y être. On ne peut pas à la fois critiquer les députés européens parce qu'on dit qu'ils sont toujours absents de Bruxelles et en même temps exiger qu'ils soient 7 jours sur 7 dans leur circonscription. Il faut trouver un équilibre. Je ne dis pas que ce sera simple.

Il faut que les gens puissent identifier qui est leur député européen, ce qu'il fait et les comptes qu'ils peuvent lui demander. Il n'est pas responsable de tout mais ça exige beaucoup plus de disponibilité de la part du député européen vis-à-vis de son électorat. Il faut cette identification. Ça me paraît fondamental. »

Vous ne craignez pas qu'on vous taxe de technocrate ?

« L'image de technocrate s'attache plus à la commission qui, il est vrai, est assez opaque. On est toujours surpris à Bruxelles par la lenteur, l'opacité et la lourdeur des procédures qui sont gérées par la commission en particulier.

Concernant le Parlement, j'ai bon espoir qu'avec le nouveau traité, qui je l'espère entrera en vigueur l'année prochaine, et l'accroissement des pouvoirs du Parlement, on puisse justement mieux réaliser et se rendre compte du rôle politique des parlementaires. C'est vrai que le Parlement a beaucoup été confiné dans des législations techniques et que ça pouvait accréditer cette image de technocrate. »

Vous êtes d'accord avec ce clivage d'une Europe de droite libérale et d'une Europe de gauche sociale ?

« Ça, ce sont les vieux slogans du PS. Comme ils sont en mal d'idées, de substance, et qu'ils sont à peu près d'accord sur rien à propos de l'Europe, je comprends qu'ils veulent botter en touche. C'est beaucoup plus compliqué que ça (...) L'Europe sociale, il faut savoir de quoi on parle. Si c'est une Europe sociale au rabais, ça ne nous intéresse pas. Je préfère, compte tenu des éléments de crise, que la politique sociale reste de la compétence des Etats.

Il ne faut pas se faire d'illusions : sur les vingt-sept pays, on est très peu à avoir une conception sociale aussi exigeante que celle de la France. Demain, si on faisait voter à Bruxelles, on serait plutôt vers une Europe sociale a minima(...) Alors, oui, il va falloir aller vers plus d'harmonisation sociale, mais par le haut. Ça prend du temps et il faut être pragmatique. »

Quel argument avanceriez-vous pour convaincre les électeurs qui seraient encore indécis pour ces Européennes ?

« Je leur dirais d'abord que l'Europe, c'est notre quotidien. Il est trop grave de ne pas s'en préoccuper. L'Europe, il vaut mieux la faire que la subir, il vaut mieux agir que subir de toute façon. Donc l'Europe de demain, celle qui va commencer avec le renouvellement du Parlement, de la commission, de l'exécutif, cette Europe-là sera ce que nous voudrons en faire. Le message clé, c'est ça : allez voter. Franchement, l'acte civique par excellence, c'est de voter pour les élections européennes. L'Europe, c'est notre horizon indépassable. »

e.hasle@lebienpublic.fr

info Cette interview a été réalisée le mercredi 27 mai, à Dijon.

Âgé de 38 ans, Arnaud Danjean

est encarté à l'UMP et est originaire de Saône-et-Loire. Il s'est présenté contre Arnaud Montebourg lors des législatives de 2007 et a perdu de très peu. Il a décroché une place sur la liste conduite par Joseph Daul pour ces Européennes.

Publié le 31/05/2009

Activités des jeunes Pop'





Durant ce week-end de Pentecôte les jeunes pop' de Saône et Loire se sont à nouveau réunis afin de soutenir la liste pour la Majorité présidentielle et plus particulièrement le candidat de Saône et Loire (Arnaud Danjean).
En effet les jeunes se sont mobilisés dans tout le département pour le collage, et le tractage sur les marchés du département (Montceau, Chalon et Louhans).